Février 2012 : les autorités questionnent Dominique Strauss-Kahn à propos de l'organisation de soirées réunissant des hommes d'affaires et des prostituées. Au départ, les enquêteurs s'interrogent sur le fait que le nom Strauss-Kahn reviennent souvent dans la bouche des protagonistes de l'affaire du Carlton.
Fin mars 2012 : il est mis en examen pour "proxénétisme aggravé en bande organisée". Le parquet de Lille requiert un non-lieu, pourtant DSK est renvoyé en correctionnelle pour "proxénétisme aggravé en réunion". Libération révèle le nom d'autres politiques comme Pierre Moscovici, Jean-Marie Le Guen ou Christophe Borgel qui apparaissent dans certains SMS de DSK concernant certaines soirées "coquines".
12 juin 2015 : Douze des treize prévenus dont DSK sont relaxés.
16 juin 2016 : DSK et sept autres prévenus sont condamnés par la 6e chambre des appels correctionnels de Douai, à verser solidairement 20 000 euros de dommages et intérêts à une association de lutte contre la prostitution.