1978-1981 : Jean-Marie Le Pen réalise des plus-values qu'il omet de déclarer, pour un montant d'environ 2 millions de francs. D'autre part, lui et son épouse logent dans la propriété de Montretout, un bien qui appartient à une société dont ils détiennent la quasi totalité des parts. Problème, le loyer est anormalement bas selon le fisc et représente donc un avantage en nature non déclaré.
Enfin, Jean-Marie Le Pen est également soupçonné de confondre son compte personnel avec celui du Front national : il aurait ainsi touché personnellement plus d'un million de francs en chèques ou liquide d'origine non déterminée. Cet argent proviendrait selon lui de "collectes auprès de sypathisants" mais il n'a pas pu prouver que l'argent retournait finalement au parti.
1988 : Jean-Marie Le Pen est condamné à un redressement fiscal de près de 1 million de francs, condamné pour "oubli de plus-value boursière et sous-estimation de loyer".
Politiques impliqués