Janvier 2015 : le Parquet de Paris ouvre une enquête contre Patrick Balkany pour "corruption d'argent public étranger".
Celui-ci est accusé d'avoir touché une rétrocommission occulte de 8 millions d'euros dans le cadre de l'achat par Areva de la société Uramin, qui possède des gisements d'Uranium en Afrique.
L'achat de 1,8 milliard de dollars plus l'investissement colossal de 1,2 milliard de dollars pour son exploitation se sont révélés être une escroquerie économique. Les mines recélaient bien moins d'uranium que prévu.
Balkany aurait facilité l'accord en intervenant dans les relations entre la France et le Président de la République Centrafricaine et d'avoir été un intermédiaire dans l'achat de mines d'uranium en Namibie. La justice découvre un surprenant versement de 5 millions de dollars sur un compte singapourien derrière lequel se cache son ancien chef de cabinet.
Le PNF (Parquet National Financier) est chargé d'enquêter par la Cour des comptes.
Juin 2019 : Cette affaire sera rattachée au procès Balkany. Lorsqu'elle sera évoquée Patrick Balkany se présentera comme un "fraudeur passif" n'ayant aucune idée d'où provient l'argent.
Politiques impliqués